dimanche 16 janvier 2011

FORCE DE VIVRE

photo personnelle


Il fut un temps où la nature fortifiait l'homme,
l'instruisait, guérissait ses blessures
et lui procurait la force de vivre.
Il était empli de compassion
et d'amour maternel pour la terre.
Il savait que le coeur de l'homme
éloigné de la nature se déssèche et devient dur.
Ce temps n'a pas disparu.
Il est en toi, indestructible.
Il suffit de modifier ton regard sur les choses,
de faire taire le vacarme du monde
et de retrouver la parole du coeur.
.
Sagesse amérindienne
.

8 commentaires:

  1. respirer au rythme des saisons , prendre le temps , c'est tout un art de vivre ..
    accepter de ne pas tout faire , à toute vitesse , faire des choix , éliminer le superflu qui nous encombre la tête..
    pas de portable: nous n'en avons pas et passons pour des préhistoriques!

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  2. Comme voici de profondes paroles, remplies de sagesse et de vérité... Puisse chacun faire sienne cette philosophie, et retrouver au fond de son cœur ce chemin de la force universelle !...
    Belle fin de dimanche à toi, amie Licorne !
    Bises, et à bientôt...
    NiNa-Lou

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  3. Faire taire le vacarme du monde.
    Changer son regard sur les choses.
    Tout un programme... J'essaie de m'y atteler !
    Belle soirée et très bonne semaine !

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  4. Je n'ai pas de portable non plus, Croukougnouche...et, pour l'instant, je survis ! :-)

    Depuis sept ou huit ans, j'ai même "éteint" radio et télé...(Télé deux ou trois heures par semaine au maximum, radio dix minutes par jour)...eh bien, je peux vous garantir que cela "lave" la tête et vous extrait du "vacarme du monde".
    La lecture de quelques pages de journal pour avoir les infos...ça suffit amplement pour se tenir au courant!

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  5. je suis d'accord sur le fond mais la forme est tellement dépendante de plein de choses que l'on ne cerne pas forcemment...plus facile de s'éloigner de la foule quand on habite la campagne,quand on n'a pas d'enfants,quand on a un travail qui le permet...etc
    et les marches arrière sont plus laborieuses et perilleuses dans les embouteillages!
    heureux celui qui a pu se tenir loin des sentiers battus...

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  6. Il s'agit moins de refuser le monde moderne que d'apercevoir ce qui est vraiment important...
    Et ce qui est important, c'est de se préserver un peu de silence et de "vie intérieure".
    Et aussi de se rendre compte de la vie totalement "artificielle" que l'on nous propose...vie qui brise notre force intérieure et fait de nous des "dépendants", des "assistés", des gens tièdes, mous, sans ressort...des "consommateurs passifs"...

    Laissons un peu de "culture sociale " de côté pour revenir aux choses naturelles, simples et fortes...

    Ce qui ne veut pas dire tout jeter: tiens, par exemple, je crois que je vais garder mon ordi ! :-)

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  7. " se rendre compte de la vie totalement "artificielle" que l'on nous propose"...c'est bien là le problème.
    il faut avoir la possibilité de voir autre chose...il faut faire l'expérience du silence,du calme...de la nature pour sentir ce que cela peut avoir de bon, ce que ça peut changer en toi et prendre conscience de l'ampleur des dégâts...
    hélas,on est obligé de constater que beaucoup sont victimes sans même pouvoir mettre un nom sur leur bourreau!
    Alors imagine tes mots...ils ne les entendent même pas et je crois ne les comprennent m^me pas!c'est ça qui me rend triste quelques fois...

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